En se basant sur nos conclusions précédentes, il est évident que l'accroissement de la population au sein du Grand Genève, son attrait économique, touristique, et le besoin de réduction des gaz à effet de serre, nécessite une réponse en termes de planification des mobilités.
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​Celles-ci doivent être planifiées en analysant les flux futurs, et en y transposant le mode de transport le plus adapté.
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Enfin, en suivant les recommandations du forum d'agglomération du Grand Genève, et par souci de cohérence territoriale, il est important que les nouvelles infrastructures ne servent pas uniquement à transporter des travailleurs de la périphérie de l'agglomération vers son centre, mais qu'elles permettent également des déplacements transversaux.
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Une réflexion doit également être faite quant à la manière de développer les infrastructures, logements, commerces, industries, autour des futurs pôles de l'agglomération, Annemasse, Valserhône, afin de créer une société multipolaire, plus équilibrée.
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Voici le schéma de lignes régionales à l'horizon 2050 que nous envisageons :
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​​​L'association LEX 2050 propose les aménagements suivants, en réponse à ces problématiques :
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2027 : une nouvelle offre RL7 d'Annemasse à Genève Aéroport et à la Zimeysa via le tunnel du Furet
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2029 : un prolongement de la RL6 de Valserhône à Nurieux-Volognat et Culoz
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Dès 2030 : un prolongement du tramway 18 du CERN à Thoiry et Sergy
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Dès 2030 : Une tangentielle sud d'Annemasse à Valserhône
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Dès 2040-45 : une nouvelle tangentiel de Valserhône à Nyon
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Dès 2040-45 : un nouveau Technicentre à Valserhône
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Dès 2040-45 : une nouvelle diamétrale de Gex à Valleiry, Annemasse et Annecy
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Dès 2050 : un prolongement des RL1 à 3 de Coppet à Nyon
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Dès 2050 : une bifurcation de la RL4 de Genève-Eaux-Vives à Anières.
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​​​Si les liaisons longues distances connaissent un regain d’intérêt depuis plusieurs années, en Europe notamment, Genève et, plus généralement, le bassin lémanique, n’est pas concerné par cette dynamique.
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