LEX 2050 rejoint le collectif AURAIL.

Jeudi 20 mars 2025, le bureau de LEX 2050 (France) a voté à l’unanimité la décision de rejoindre le collectif d’associations AURAIL.

AuRail est un collectif d'une vingtaine d'associations œuvrant à résoudre les difficultés communes de mobilité ferroviaire.

AURAIL est une organisation créée en juin 2023 et qui regroupe une vingtaine d’associations de la région Auvergne-Rhône-Alpes afin de « tenter de résoudre les difficultés communes de mobilité ferroviaire ».

Cette décision s’inscrit dans une volonté du bureau de l’association LEX 2050 (France) de fédérer autour de projets précis afin que ceux-ci pèsent de tout leur poids auprès des différents commanditaires.

Ainsi, l’association LEX 2050, déjà membre de la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports (FNAUT), travaille à un rapprochement avec deux autres associations, en France et en Suisse, afin que nos futurs adhérents puissent être affiliés à plusieurs associations militant pour des actions communes.

Enfin, l’association LEX 2050 continuera à proposer à différentes associations et fédérations de s’unir lors d’événements ponctuels, comme cela fût le cas il-y-a quelques jours lorsque le comité de LEX 2050 (France) a proposé à actif-trafiC, Alprail, l’AEDTF, l’ARDSL, l’ATE et la Fnaut de cosigner une lettre ouverte au Conseiller d’Etat genevois Pierre Maudet et au Vice-président délégué aux transports de la région Auvergne-Rhône-Alpes Frédéric Aguilera demandant la mise en place de mesures pour augmenter l'attractivité des transports collectifs et de mobilités douces afin de compenser, en partie, la fin de la gratuité de l’A40.

Le bureau de LEX 2050 (France) reste convaincu que l’union fait la force. Nous nous réjouissons de ces nouveaux rapprochements et des futures nouvelles affiliations qui nous permettront de faire avancer nos propositions en matière de développement des mobilités au sein du Grand Genève.

Thermomètre de l'hypothétique future ligne RL8 du Léman Express de Valserhône à Annemasse. Celle-ci est déjà exploitée par la région Auvergne-Rhône-Alpes au travers d'un service de TER. Les études déjà menées nous permettent d'affirmer qu'une cadence à la demi-heure est possible, sans devoir créer de nouvelles infrastructures. La réouverture des gares de Chevrier-Vulbens, Viry, Archamps et Bossey-Veyrier coûtera environ 32 millions d'euros et augmenterait le temps de parcours de près de 15 minutes. Ce service serait relié au futur tramway 15 des Transports Publics Genevois (TPG), ainsi qu'au futur métro à Saint-Julien-en-Genevois, permettant d'offrir un véritable report modal pour toute la fenêtre sud du canton de Genève.